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Les principaux points à prendre en compte
Les cas de figure peuvent être très différents d’un terrassement à l’autre selon la construction envisagée, le type de terrain, le lieu des travaux… Tout d’abord, avant de penser à évacuer la terre, il faut prendre en compte sa qualité. La terre végétale par exemple a une réelle valeur et une partie peut être mise de côté et réutilisée sur le terrain, dans un potager ou pour faire du compost. Il est également judicieux de prévoir l’enlèvement à une période sèche de l’année, car il est toujours plus difficile de manipuler de la terre mouillée.
En amont de toute évacuation de terre, une voie d’accès pour les engins doit être prévue afin de faciliter les allers et venues.
errassement : l’évacuation de la terre
Si la terre est de très bonne qualité, il est possible de passer une annonce pour proposer à des entrepreneurs en travaux, à des jardineries ou à des particuliers de venir la récupérer, gratuitement ou non. Si les quantités de terre sont peu importantes, cela peut être rentable de procéder à l’enlèvement soi-même et faire ainsi quelques économies. Mais le premier réflexe avant de s’engager dans de tels travaux est d’appeler sa Mairie ou la déchetterie pour bien se renseigner sur les modalités et les réglementations en vigueur.
Attention, s’occuper soi-même de l’évacuation de la terre n’est pas forcément rentable car il faut tenir compte de la location des engins et du matériel tels que pelleteuse, benne ou camion…. Une certaine expérience du maniement de ce type d’engins spécialisés ainsi qu’un permis de conduire CACES est parfois nécessaire.
Si le terrassement est effectué par une entreprise spécialisée, il est fort possible que l’évacuation de la terre soit comprise dans le devis.